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Sous un purdah

Voyage dans la claustration féminine

Sous un purdah (1/13) - Agnès De Féo

Rose et son mari
Couple de tablighi de la communauté de Hula Langat, État de Selangor en Malaisie
Mars 2004

Sous un purdah (2/13) - Agnès De Féo

Je finissais amie intime de Rose

Sous un purdah (3/13) - Agnès De Féo

J'arrivais à Dusun Raja, près de Kota Bahru, centre du Tabligh (markaz) du Kelantan en mars 2004

Sous un purdah (4/13) - Agnès De Féo

Dusun Raja abrite une madrasa pour hafiz, jeunes hommes qui mémorisent le Coran

Sous un purdah (6/13) - Agnès De Féo

A l'arrière, je découvrais l'espace des femmes, les mastura (celles qui portent le purdah qui les couvre entièrement)

Sous un purdah (7/13) - Agnès De Féo

Je finissais pas me laisser convaincre : je laissais mon hôtel de Kota Bahru pour venir habiter avec elles

Sous un purdah (8/13) - Agnès De Féo

Comme le prescrit le Tabligh, chacun mange dans le même plat, une véritable mise en commun

Sous un purdah (9/13) - Agnès De Féo

Dans l'intimité des mastura, je me laissais convaincre d'adopter le purdah
et participais à toutes les activités des femmes du Tabligh

Sous un purdah (10/13) - Agnès De Féo

Accueillie à l'aéroport de Kuala Lumpur par des mastura de la communauté de Hulu Langat (Selangor), j'ai expérimenté le purdah lors de nos sorties en ville, dans les lieux que j'avais fréquenté en Occidentale

Sous un purdah (11/13) - Agnès De Féo

La liberté d'être soi-même sans être réduite par le regard de l'autre

Sous un purdah (13/13) - Agnès De Féo

Je comprenais enfin pourquoi ces femmes éduquées, anglophones, appartenant à la classe moyenne aisée, se cloîtrent volontairement dans un pays où le voile n'a jamais été obligatoire